Quand j’ai découvert le MBTI (Myers-Briggs Type Indicator), je pensais au départ que c’était un simple outil de personnalité. Mais en réalité, c’est bien plus que ça. Travaillé en profondeur, il m’a permis de :
Et c’est précisément ce chemin de conscience qui nourrit, jour après jour, ma posture de coach.
Le MBTI, un miroir pour mieux se connaître
Le MBTI ne donne pas une étiquette figée. Il éclaire nos préférences naturelles : la manière dont nous nous ressourçons, prenons des décisions, percevons le monde.
Pour moi, cet outil a été un miroir :
Cette prise de conscience a été essentielle pour équilibrer ma pratique : ne pas rester prisonnière de mes préférences, mais apprendre à naviguer aussi dans mes zones moins naturelles.
Comprendre l’autre sans juger
Un autre apport fondamental du MBTI, c’est qu’il m’a permis de mieux comprendre les autres.
Dans le coaching, on accompagne des clients très différents de soi. Sans ce recul, il est facile de tomber dans le piège du jugement : « il/elle devrait… », « je ne comprends pas pourquoi il/elle agit comme ça ».
Grâce au MBTI, j’ai appris à voir ces différences non pas comme des obstacles, mais comme des manières légitimes et complémentaires d’être au monde.
Cela change tout :
Une ressource précieuse pour la posture de coach
En tant que coach, le MBTI m’aide à :
En un mot : il m’aide à être une coach plus consciente, ouverte et éthique.
Quand le MBTI est bien enseigné et bien travaillé
Comme tout outil, le MBTI peut être utilisé de manière superficielle (« tu es comme ci, donc tu es comme ça »). Mais dans une approche profonde, respectueuse et nuancée, il devient un véritable levier de développement personnel et professionnel.
Pour un coach, c’est une ressource précieuse :
Pour moi, le MBTI n’est pas une « boîte » dans laquelle enfermer les gens. C’est une clé pour mieux se comprendre et mieux se relier aux autres. Et c’est cette conscience-là qui, jour après jour, transforme ma manière d’être coach.